Les mots de Jean Rolin dans Le Traquet Kurde – paru chez P.O.L en 2017 – nous amènent à nous interroger sur le chemin de ces migrateurs que sont les oiseaux et des hommes qui les suivent. De Baudelaire à Perret, de Poelvoorde à Fugain, on y parle de migration en poésies et en chansons. Ici le vélo, symbole du voyage, tourne en rond, fait du surplace et nous aide à prendre de la hauteur sur un sujet qui n’est plus dans l’actualité.